Le film documentaire « Barrages, l’eau sous haute tension », de Nicolas Ubelmann, informe sur les risques de la privatisation programmée des barrages français et la menace que cette privatisation ferait peser sur l’approvisionnement en électricité du pays, mais aussi sur l’eau. Privé de diffusion en salles par la pandémie de Covid-19, le film est en accès libre.
3 jeunes verbalisés. Les autorités mettent des moyens illimités pour surveiller la population
Il n’y a pas de masques ni de tests dans les hôpitaux pour faire face
à la pandémie, mais les autorités déploient des moyens gigantesques
pour surveiller et réprimer. Des drones sont utilisés dans de nombreuses
villes pour traquer les personnes qui sortent de chez elles, et les
menacer avec des hauts parleurs. Des scènes qu’on croirait sorties d’un
mauvais film de science fiction.
Une étape supplémentaire est franchie localement. En plus du drone
qui survole Nantes en journée, un hélicoptère sillonne le ciel de la
métropole la nuit ! Ouest-France explique..
Après des décennies d'économies imposées par différents gouvernements, la plupart des hôpitaux publics sont aujourd'hui en difficulté financière. Tout a commencé en 1983…
—————————————
▶︎ Retrouvez la vidéo sur le site de Brut
▶ 📲 sur l’appli Brut (iOS) : https://apple.co/2UY7gNH
Serait-ce un pangolin ? Une chauve-souris ? Ou même un serpent, comme on a pu l’entendre un temps avant que cela ne soit démenti ? C’est à qui sera le premier à incriminer l’animal sauvage à l’origine de ce coronavirus, officiellement appelé SRAS-CoV-2 (1), dont le piège s’est refermé sur plusieurs centaines de millions de personnes, placées en quarantaine ou retranchées derrière des cordons sanitaires en Chine et dans d’autres pays. S’il est primordial d’élucider ce mystère, de telles spéculations nous empêchent de voir que notre vulnérabilité croissante face aux pandémies a une cause plus profonde : la destruction accélérée des habitats.
« Ce qui est en train de se passer est
une expérimentation totalitaire dans laquelle la fin affichée – 'sauver
des vies' – justifie tous les moyens », écrit l’auteur de cette tribune.
Alors que le confinement dure et que la pandémie perdure, ce qui ...
“Il est plus facile d’imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme”
La culture dominante est en train de tuer la planète. La civilisation
industrielle, sa structure et ses valeurs, nous dirige vers
l’effondrement biotique. Il est temps pour celles et ceux d’entre nous
qui se soucient de la vie sur Terre de commencer à prendre les mesures
nécessaires, pour riposter et l’empêcher de détruire tout ce qui vit.
Il s’agira de décentrer le regard, de faire des pas de côté face à
l’anthropocentrisme. Alors que les rapports entre l’espèce humaine et la
nature se fondent jusqu’ici sur la domination de l’un sur l’autre, il
est nécessaire et impératif de mettre fin à cette vision et de retrouver
l’harmonie dans le vivant. Dès lors, quelles stratégies pouvons-nous
employer ?
La conférence propose d’étudier la complémentarité des luttes et des
stratégies pour mettre fin à la civilisation industrielle mortifère.
Nous nous attardons sur la désobéissance par l’action directe, car c’est
la stratégie la moins visible aujourd’hui dans le mouvement écologiste.
Face à l’écocide nous devons reprendre des terres, des rivières, des
forêts… Il faut permettre aux enfants de grandir dans une culture qui
vit de manière soutenable, ce qui ne peut se produire que grâce à une
révolution qui démantèle pièce par pièce la civilisation industrielle.
Serons-nous la génération qui a fait ce qui était nécessaire pour
sauver la planète, ou serons-nous la génération qui a gâché notre
occasion de changer les choses ? En résistant, nous écoutons notre
colère et passons à l’action pour nous libérer. Nous participons à une
aventure humaine, animale, végétale, vivante, créons des groupes
affinitaires, de confiance, inclusifs, de façon horizontale pour créer
dès aujourd’hui le monde que l’on veut voir demain.
Telle
était la tonitruante affirmation proférée le 26 février dernier par le
meilleur infectiologue au monde (selon le classement expertscape),
accueillie pourtant avec scepticisme et même sarcasmes par la
communauté scientifique. Trois semaines plus tard, la réalité est en
train de lui donner raison. Révélant au passage que nous aurions à peu
près tout faux face au virus. Ce qui est en fait une excellente nouvelle
!
Avant le début du cours et indépendamment de celui-ci, petite préface sur l'actualité.
Cette partie n'est pas destinée aux étudiants UGA mais à un public curieux. Seule la seconde partie des vidéos, plus formelle, est destinée à l'Université.
Voici mon passage de hier sur RT – que je remercie pour avoir été à la pointe pour informer le public – pour alerter sur la gravité du #Covid_19. La moitié de ses 300 victimes en réanimation ont moins de 54 ans (LCI).
Importantes analyses demain sur la mortalité du virus.
Voici la vidéo :
P.S. Nous avons rajouté les infographies et passages dont je parlais. Merci de soutenir RT en allant sur leur chaîne Youtube ici et en vous y abonnant.
Voici la carte des malades testés positifs à jour au 14 mars. Les chiffres ont doublé en 3 jours.
Comme on ne teste que les cas graves qui ont mis du temps pour devenir malade, il faut probablement multiplier ces chiffres par 30 à 50 voire 100 (Dr Caumes) pour avoir l’ordre de grandeur des porteurs du virus
Une allégation de viol inventée et des preuves fabriquées en Suède, la
pression du Royaume-Uni pour ne pas abandonner l’affaire, un juge
partial, la détention dans une prison de sécurité maximale, la torture
psychologique - et bientôt l’extradition vers les États-Unis, où il
pourrait être condamné à 175 ans de prison pour avoir dénoncé des crimes
de guerre. Pour la première fois, le rapporteur spécial des Nations
unies sur la torture, Nils Melzer, parle en détail des conclusions
explosives de son enquête sur le cas du fondateur de Wikileaks, Julian
Assange.
La situation est critique pour la planète, mais aussi pour ceux qui la défendent. Les premiers grands écolos et révolutionnaires d’aujourd’hui sont les peuples qui résistent un peu partout contre l’extraction minière ou les projets d’utilisation des ressources naturelles, à commencer par la base : l’eau, par exemple. [1] Ces peuples résistent pour répondre à un intérêt on ne peut plus basique : se maintenir en vie. Ils sont ainsi aux premières lignes pour se confronter au « Grand Capital » et à l’éventail des techniques de répression que ce dernier a su inventer au cours de son histoire. Cela ne date bien sûr pas d’hier, mais tant que cela dure, on ne l’écrira jamais assez : le Capitalisme se fiche bien si ses bénéfices ont pour conséquence la mort et la destruction de la nature, de l’humanité tout entière ou pour le moment « seulement » de certains groupes d’humains (pauvres et racialisés de préférence). Rien que pour cette raison, ce système n’est plus viable. Ces peuples en survie l’ont bien compris et sont le fer de lance de la résistance anticapitaliste pour la vie. Ils luttent pour l’autonomie de leur territoire, et ils se confrontent donc directement aux intérêts des grandes multinationales à caractère impérialiste et..
Pris en étau entre le régime autoritaire Turc et la gouvernement de
droite grec, les réfugiés coincés dans le camp de Moria sur l’île de
Lesbos sont totalement abandonnés par les pays de l’Union européenne. 21
000 personnes s’y entassent, sans nourriture et sans chauffage.
Une visite à Riyad · Le 15 février 2020, quelques jours avant qu’une série de raids de l’alliance militaire menée par l’Arabie saoudite ne fasse des dizaines de victimes civiles au Yémen où cette coalition poursuit depuis de longues années une guerre atroce, Bernard-Henri Lévy était à Riyad. Non pour dénoncer ces crimes de guerre, mais pour plaider une « alliance » avec le régime.