Face à la pression de plusieurs laboratoires pour lâcher dans la nature
des insectes génétiquement modifiés, l'Académie des sciences américaine
appelle à la prudence tant que ne sont pas connues les conséquences sur
les êtres humains et le milieu naturel.
Plusieurs laboratoires, publics ou surtout privés, font pression sur des gouvernements africains, brésiliens et sur les autorités américaines pour que soit officiellement autorisé le recours à des moustiques transgéniques destinés à lutter contre la transmission du virus Zika, du paludisme et d'autres maladies véhiculés par ces insectes. L'Académie de Sciences américaine, qui vient de publier un rapport faisant état de ses doutes sur ce type de manipulation génétique, met en garde. Les organismes vivants modifiés par ces techniques, « ne sont pas prêts à être lâchés dans l'environnement, alerte le rapport rendu public cette semaine. Ils nécessitent davantage de recherches en laboratoires et des essais dans la nature extrêmement contrôlés »....
Plusieurs laboratoires, publics ou surtout privés, font pression sur des gouvernements africains, brésiliens et sur les autorités américaines pour que soit officiellement autorisé le recours à des moustiques transgéniques destinés à lutter contre la transmission du virus Zika, du paludisme et d'autres maladies véhiculés par ces insectes. L'Académie de Sciences américaine, qui vient de publier un rapport faisant état de ses doutes sur ce type de manipulation génétique, met en garde. Les organismes vivants modifiés par ces techniques, « ne sont pas prêts à être lâchés dans l'environnement, alerte le rapport rendu public cette semaine. Ils nécessitent davantage de recherches en laboratoires et des essais dans la nature extrêmement contrôlés »....
Suite, article de Politis de juin 2016, à lire sur Science et Technologie
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