L'ère Obama marquera t'elle une réelle rupture avec le pouvoir de l'oligarchie omnipotente, avec la guerre perpétuelle et la fabrication des terroristes virtuels qui la justifie et rend légale la domination des pays où gisent enfouis les derniers arpents de la précieuse naphte? Sera t'elle sociale, écologiste, définanciarisée, désarmée, décroissante, équitable, nouvelle..?
J'en doute.Mais il est vrai que j'appartiens à cette génération de "déçus-grincheux-trahis" qui, lors de l'élection de Mitterand en 81, s'étaient laisser aller à rêver et espérer. Un événement qui alors déclencha la liesse dans les rues de l'hexagone mais qui au final conduisit le pays vers le marécage néolibéral.
Autre chose est que la nouvelle administration américaine s'apprête à gouverner sur le champ de ruines exponentiel creusé par la crise et la gestion passée. Qui sait si dans ces conditions, le candidat Obama n'est pas "quelquechose" comme la victime pré-désignée jettée dans l'arène, livrée à la vindicte montante de ceux, innombrables qui perdent tout?
Notons cependant que s'achève -tout au moins en place publique- le règne d'un vrai terroriste et du plus menteur des fondamentalistes: J'ai nommé Georges Dabeuliou. Ca s'arrose.
Sous le coup d'une joie décontenue j'allais ajouter:
"qu'on le poursuive, qu'on le juge, qu'on le condamne enfin pour syncrétisme politique, escroquerie mondialisée, pour complot et crimes contre l'hummanité!"
Mais putaing de putaing, j'en oubliai l'une de ces lois immuables à la justice de l'homme et tellement bien soulignée par Lafontaine en ces mots pourtant célèbres: "
Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir".
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