Dans son livre Tueries : forcenés et suicidaires à l’ère du capitalisme absolu (1), le philosophe italien analyse les ressorts du terrorisme suicidaire qui frappe aujourd’hui aussi bien à Colombine (États-Unis) ou Utoya (Norvège) que dans les rues de Paris. Il y voit le symptôme d’un corps social déchiqueté par la mise en compétition permanente inhérente au capitalisme sauvage qui engendre dépression et violence.
Entretien réalisé par Eugénie Barbezat
Vendredi, 3 Juin, 2016, à lire sur l'Humanité
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