par
… un alibi néo-colonial ? Coup de gueule de Danièle Bleitrach.
Je suis de ceux qui éprouvent un profond malaise quant à cette histoire libyenne. La remise en vigueur du « devoir d’ingérence » — car quoi qu’on dise, c’est bien de cela qu’il s’agit — par une « diplomatie du perron » incarnée une fois de plus par le pire histrion de la philosophie médiatoque (même remise in extremis par Juppé, en vrai pro, sur des rails traditionnels) et son débouché sur une nouvelle intervention armée des ex-puissances coloniales en terre arabe (sans garantie de résultats ni certitude de développements) ne me dit rien qui vaille.
L’écrasement d’une révolte populaire par un dictateur d’évidence cinglé et sanguinaire n’est pas acceptable — nous dit-on — et nécessite l’intervention de la communauté des nations. Soit.
Mais une option militaire ?
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L’écrasement d’une révolte populaire par un dictateur d’évidence cinglé et sanguinaire n’est pas acceptable — nous dit-on — et nécessite l’intervention de la communauté des nations. Soit.
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