A In Salah, dix jours après les affrontements, le calme est revenu, mais la mobilisation contre le gaz de schiste se poursuit. La mobilisation est alimentée par le traumatisme des essais nucléaires français effectués naguère dans le Sahara. Ils ont laissé dans la région des séquelles sanitaires et environnementales durables.
- Alger, correspondance
Plus de dix jours après les affrontements du samedi 28 février et dimanche 1er mars, les informations qui parviennent d’In Salah confirment à la fois le retour au calme et la poursuite du mouvement de contestation contre l’utilisation de la fracturation hydraulique. (...)
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