Contre ceux qui pensent que quelques abribus cassés mettent en péril l’élection présidentielle, il faut affirmer qu’il est salutaire pour notre avenir commun de prendre enfin au sérieux la souffrance et la colère de nos enfants oubliés. Devant les vraies violences qui nous rongent et qui nous menacent, la rupture dont nous avons besoin n’est pas programmatique mais démocratique.
Quel soulagement de voir enfin de la presse faire sa une sur les drames subis pas Adama et Théo en plein marasme démocratique et électoral. Pense-t-on vraiment que ces drames auraient été à ce point considérés dans les débats publics..
Suite sur le blog d'Alain Bertho
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