Par Conseil National de la Résistance le lundi 7 juillet 2008, 14:56 - Lien permanent
En réponse à Sarkozy qui prétend que plus personne ne s'aperçoit qu'il y a des grèves.
En réponse aux états-majors syndicaux divisés, dont certains seraient prêts à négocier le poids des chaînes si l'esclavage était rétabli.
En réponse à ceux qui pensent que le ressort du mouvement social est définitivement cassé et que les travailleurs sont soumis, dans ce pays.
En réponse à ceux qui réclament, sans succès, des consignes d'en haut, alors que c'est de la base que tout peut démarrer.
En réponse à ceux qui ont besoin de la perspective d'une manifestation concrète de la colère populaire... et d'une victoire sur le terrain social, ou du moins de la preuve d'une large mobilisation possible.
En réponse à ceux qui se satisfont des oppositions que le gouvernement fait naître entre les citoyens (diviser pour mieux régner).
Résistons! Créons la mobilisation dont nous avons besoin...
Obligeons nos états-majors syndicaux à nous suivre dans l'organisation d'une grande grève générale interprofessionnelle, éventuellement reconductible, et d'une manifestation populaire, le 10 novembre 2008, à Paris, contre la destruction de notre république sociale par Sarkozy et le gouvernement du MEDEF.
Mobilisons chacun de nos délégués syndicaux. Faisons faire des mots d'ordre de grève dans tous les départements et toutes les branches locales, pour que les centrales nationales suivent la voie que nous montrons.
Notre République est une République sociale, comme le dit la Constitution.
Cela veut dire que le fait de vivre ensemble nous protège les uns les autres.
Non à la destruction de ce modèle de société que nous avons hérité de la Résistance!
De puissantes sections syndicales ont déjà signé la lettre de masse aux états-majors syndicaux et envoyé des motions vers leurs fédérations nationales pour réclamer une action tous et en même temps ... Les signataires de cette lettre pourraient se retrouver dès la rentrée sociale dans les bourses du travail de tout le pays pour discuter des suites à donner à cette proposition d'action le 10 novembre 2008.
Il ne s'agit surtout pas, ici, de briser la direction des syndicats, entendons-nous bien, mais de se réapproprier l'outil.
Xavier Marchand
source: CNR
En réponse aux états-majors syndicaux divisés, dont certains seraient prêts à négocier le poids des chaînes si l'esclavage était rétabli.
En réponse à ceux qui pensent que le ressort du mouvement social est définitivement cassé et que les travailleurs sont soumis, dans ce pays.
En réponse à ceux qui réclament, sans succès, des consignes d'en haut, alors que c'est de la base que tout peut démarrer.
En réponse à ceux qui ont besoin de la perspective d'une manifestation concrète de la colère populaire... et d'une victoire sur le terrain social, ou du moins de la preuve d'une large mobilisation possible.
En réponse à ceux qui se satisfont des oppositions que le gouvernement fait naître entre les citoyens (diviser pour mieux régner).
Résistons! Créons la mobilisation dont nous avons besoin...
Obligeons nos états-majors syndicaux à nous suivre dans l'organisation d'une grande grève générale interprofessionnelle, éventuellement reconductible, et d'une manifestation populaire, le 10 novembre 2008, à Paris, contre la destruction de notre république sociale par Sarkozy et le gouvernement du MEDEF.
Mobilisons chacun de nos délégués syndicaux. Faisons faire des mots d'ordre de grève dans tous les départements et toutes les branches locales, pour que les centrales nationales suivent la voie que nous montrons.
Notre République est une République sociale, comme le dit la Constitution.
Cela veut dire que le fait de vivre ensemble nous protège les uns les autres.
Non à la destruction de ce modèle de société que nous avons hérité de la Résistance!
De puissantes sections syndicales ont déjà signé la lettre de masse aux états-majors syndicaux et envoyé des motions vers leurs fédérations nationales pour réclamer une action tous et en même temps ... Les signataires de cette lettre pourraient se retrouver dès la rentrée sociale dans les bourses du travail de tout le pays pour discuter des suites à donner à cette proposition d'action le 10 novembre 2008.
Il ne s'agit surtout pas, ici, de briser la direction des syndicats, entendons-nous bien, mais de se réapproprier l'outil.
Xavier Marchand
source: CNR
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