Discours de Julian Assange le 20 décembre 2012 : « Apprenez ! Défiez ! Agissez ! Maintenant ! »
Oulala.info | 25 décembre 2012
Bonsoir, Londres.
J’ai été sustenté par votre solidarité et je suis reconnaissant des efforts de personnes de par le monde entier soutenant le travail de WikiLeaks, soutenant la liberté d’expression, la liberté de la presse, des éléments esentiels de notre démocratie. Bien que ma liberté soit limitée, au moins suis-je capable de communiquer ce Noël, non pas comme les 232 journalistes qui sont en prison ce soir.
Non pas comme Gottfrid Svartholm en Suède ce soir.
Non pas comme Jeremy Hammond à New York ce soir.
Non pas comme Nabeel Rajab au Bahreïn ce soir.
Et non pas comme Bradley Manning, qui a eu 25 ans cette semaine, un jeune homme qui a préservé sa dignité après avoir passé plus d’un dixième de sa vie en prison, sans procès, une partie de ce temps dans une cage, nu et sans ses lunettes. Et non pas comme tant d’autres dont les épreuves sont reliées aux miennes.
Je salue ces hommes et ces femmes de courage. Et je salue les journalistes et les publications qui ont couvert ce qui continue d’arriver à ces personnes, et les journalistes qui continuent de publier la vérité face à la persécution, les poursuites judiciaires et les menaces – qui prennent le journalisme au sérieux. Parce que c’est à partir de la révélation de la vérité que tout le reste s’ensuit.
Nos édifices ne peuvent être aussi grands que leurs briques sont fortes. Notre civilisation est seulement aussi forte que ses idées sont vraies. Quand nos édifices sont érigés par les corrompu(e)s, quand leur ciment est coupé avec des salissures, quand l’acier vierge est remplacé par des débris – nos édifices ne sont pas sûrs comme domicile. Et quand nos médias sont corrompus, quand nos intellectuels sont pusillanimes, quand notre histoire est emplie de demi-vérités et de mensonges – notre civilisation ne sera jamais juste. Elle ne s’élèvera jamais jusqu’au ciel.
Nos sociétés sont des bidonvilles intellectuels. Nos croyances concernant le monde et nous-mêmes, entre nous, ont été crées par le même système qui par le mensonge nous a menés dans des guerres à répétition qui ont tué des millions de gens. Vous ne pouvez pas construire un gratte-ciel avec de la pâte à modeler. Et vous ne pouvez pas édifier une civilisation juste à partir d’ignorance et de mensonges.
Nous devons nous éduquer les un(e)s les autres. Nous devons célébrer ceux et celles qui révèlent la vérité et dénoncer ceux qui empoisonnent notre capacité à comprendre le monde dans lequel nous vivons. La qualité de notre discours est la limite de notre civilisation.
Mais cette génération s’est dressée sur ses jambes, et révolutionne est la manière dont nous percevons le monde. Pour la première fois dans l’histoire les personnes qui sont affectées par l’histoire en sont les créateurs. Et pour ce qui est des autres journalistes et publications – vos oeuvres parlent d’elles-mêmes, comme le font vos crimes de guerre.
Je salue ceux et celles qui reconnaissent la liberté de la presse et le droit du public à l’information – reconnus dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, reconnus dans le Premier Amendement des USA – nous devons admettre que ceux-ci sont en danger et ont besoin de protection, comme jamais auparavant.
WikiLeaks est sous le coup d’une enquête en cours du Ministère de la Justice US, et ce fait a été correctement reconnu par l’Équateur et les gouvernements d’Amérique Latine comme mettant matériellement en danger ma vie comme mon travail. L’asile n’est pas accordé sur un coup de tête, mais selon des faits. L’enquête états-unienne est rapportée par témoignage – sous serment – dans les Cours US, est reconnue par le Ministère de la Justice, et dans le Washington Post il y a tout juste quatre jours par le Procureur de la Virginie, comme un fait. Ses citations à comparaître sont combattues par nos agents dans les Cours US. Le Pentagone a réitéré ses menaces contre moi en septembre et affirmé que l’existence même de WikiLeaks était un crime en plein jour.
Mon œuvre ne sera pas étouffée. Mais tant que cette enquête immorale se poursuit, et tant que le gouvernement australien ne défendra pas le journalisme et la publication de WikiLeaks, je dois rester ici.
Toutefois, ma porte est ouverte – et la porte a toujours été ouverte – pour quiconque désire me parler. Comme vous, je n’ai pas été accusé de crime. Si jamais vous vous entendez de la propagande suggérant autre chose, faites note de cette corruption du journalisme et allez sur justice4assange.com pour tous les faits réels. Dites au monde la vérité, et dites-le au monde qui vous a menti. Malgré les limitations, malgré le blocus bancaire extra-judiciaire, qui entoure WikiLeaks comme l’embargo sur Cuba, malgré une enquête criminelle sans précédent et une campagne pour nuir à et détruire mon organisation, 2012 a été une année immense.
Nous avons publié presque un million de documents. Des documents concernant la guerre qui se poursuit en Syrie. Nous avons exposé l’état de surveillance des masses dans des centaines de documents issus d’entreprises privées de renseignement. Nous avons publié des informations au sujet du traitement des détenus à Guantanamo Bay et ailleurs – le symbole de la corruption de la règle du droit en Occident, et au-delà.
Nous avons gagné contre le blocus bancaire illégal dans les tribunaux et au Parlement Européen. Après un combat de deux ans, les dons à WikiLeaks sont passés d’un statut de blocage et de non-déductibilité fiscale à la déductibilité dans le calcul des impôts à travers toute l’Union Européenne et les USA. Et la semaine dernière l’information révélée par WikiLeaks était cruciale – et citée au cours du jugement – dans la détermination de ce qui est vraiment arrivé à El-Masri, un Européen innocent kidnappé et torturé par la CIA.
L’année prochaine sera également riche en évènements. WikiLeaks a déjà plus d’un million de documents en préparation pour être publiés, des documents qui concernent tous les pays du monde. Tous les pays du monde. Et en Australie un Sénateur non-élu sera remplacé par un Sénateur qui lui, l’est.
En 2013, nous continuons à nous dresser face aux brutes. Le gouvernement équatorien et les gouvernements de l’Amérique Latine ont démontré combien la coopération au travers de valeurs partagées peut enhardir les gouvernements pour résister à la contrainte et soutenir l’auto-détermintaion. Leurs gouvernements ne menacent personne, n’attaquent personne, n’envoient des drones sur personne. Mais ensemble ils sont forts et indépendants. Les appels las des manieurs de pouvoir à Washington en faveur de sanctions économiques contre l’Équateur, simplement à cause de la défense de mes droits, sont mal inspirés et immoraux. Le Président Correa a justement dit, « les principes de l’Équateur ne sont pas à vendre. » Nous devons nous unir ensemble pour soutenir le courageux peuple équatorien, pour les défendre contre une intervention à l’encontre de leur économie et une interférence dans leurs élections l’année prochaine.
La puissance de personnes parlant haut et fort et résistant ensemble terrifie le pouvoir corrompu et anti-démocratique. Tant et si bien que des gens ordinaires ici en Occident sont devenus les ennemis des gouvernements, des ennemis à surveiller, des ennemis à être contrôlés et appauvris.
La vraie démocratie n’est pas la Maison Blanche. La vraie démocratie n’est pas Canberra. La vraie démocratie est la résistance des peuples, armés de la vérité, de la place Tahrir à ici à Londres.
Chaque jour, des personnes ordinaires nous enseignent que la démocratie c’est la liberté de parole et la dissidence. Car dès que nous, le peuple, cessons de dire ce qu’il y a à dire et cessons de nous révolter, dès que nous sommes distraits ou pacifiés, dès que nous nous détournons les un(e)s des autres, nous cessons d’être libres. Car la vraie démocratie est la somme – LA SOMME – de notre résistance.
Si vous ne vous exprimez pas – si vous abandonnez ce qui est uniquement à vous en tant qu’être humain: si vous abandonnez votre conscience, votre indépendance, votre sens de ce qui est bien et de ce qui est mal, en d’autres mots – peut-être sans le savoir, vous devenez passif(ve)s et sous contrôle, incapables de vous défendre et de défendre ceux et celles que vous aimez.
Les gens me demandent souvent, « Que puis-je faire? »
La réponse n’est pas si compliquée.
Apprenez comment fonctionne le monde. Remettez en question les déclarations et les intentions de ceux et celles qui cherchent à nous contrôler derrière une façade de démocratie et de monarchie. Unissez-vous en un but commun et un principe commun pour imaginer, construire, documenter, financer et défendre.
Apprenez. Défiez. Agissez.
Maintenant.
Source: http://wikileaks.org/Statement-by-Julian-Assange-after.html
traduit depuis le web par willsummer
20 décembre 2012
En route vers la 3ème Guerre Mondiale
"En route vers la 3ème Guerre Mondiale" nous rappelle les évènements et les raisons qui ont mené au cours des dernières décennies les États-Unis à guerroyer sans cesse dans le but de sauver le dollar à tout prix jusqu'à déclencher une 3ème guerre mondiale aujourd'hui.
Le Journal du Siècle
Liens:
Quelque chose de grave se prépare dans le Monde - http://youtu.be/XuKn3ynzJcU
Ne les laissons pas déclencher la 3ème Guerre Mondiale / MESSAGE IMPORTANT d'Anonymous - http://youtu.be/k2uG4tsjooc
Iran : un think-thank pro-israélien à une idée pour déclencher la guerre - http://youtu.be/RCpUdohka6s
Etats-Unis : 352 milliards de $ pour moderniser son arsenal nucléaire - http://wp.me/p2ywaf-tF
suite des liens sur Youtube...
17 décembre 2012
« Ce n’est pas qu’une manif d’homos ! »
Dimanche 16 décembre, à Paris, des milliers de personnes ont manifesté en faveur du projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels.
Les anti-mariage pour tous sont-ils en train de gagner la guerre de la communication face à ceux qui sont en faveur du projet de loi qui sera présenté fin janvier à l’Assemblée nationale ? C’est la question posée à des manifestants dimanche 16 janvier entre la Bastille et la place Saint-Michel à Paris où près de 100000 personnes selon les estimations ont battu le pavé pour scander « Oui oui oui » et réclamer l’égalité des droits.
Maxime, 32 ans, rédacteur en chef dans la presse mode, qui arbore fièrement « La haine n’est pas une valeur familiale » sur une pancarte jaune dénichée et téléchargée via internet se réjouit. « Je suis agréablement surpris. Il y a du monde ! Et ça fait plaisir de voir autant de familles. Je ne pense pas que « antis » sont en train de gagner la guerre de la communication même s’ils crient plus fort que nous, c’est vrai. Ce qui est sûr, c’est que le 13 janvier, ils vont avoir une très forte visibilité mais j’espère que les médias vont rendre compte de la politisation de cette manifestation et relever la récupération des défilés par l’UMP… »
Maxime demeure serein. « La loi sur le mariage va passer. Il n’y a pas de raisons. L’opinion y est majoritairement favorable. Pour la PMA (Procréation Médicale Assistée), ce n’est pas certain… ». Le jeune parisien entend les réticences : « Je suis pour l’autoriser mais je comprends qu’on puisse avoir des réserves sur ce débat car ça pose la question de l’accès aux origines pour les enfants mais ce problème concerne autant les couples hétéros qui veulent y avoir recours que les couples homosexuels».
Une autre pancarte plus artisanale véhicule un message comme une évidence : « L’Espagne a légalisé le mariage homosexuel en 2005. Le pays existe toujours. Ils ont même gagné au foot ! ». Pauline, étudiante de 21 ans, venue d’Antony (92) avec sa mère Christine et un couple d’amis parisiens sexagénaires manifestent dans la joie. Comme Maxime, le groupe est optimiste. Madeleine, lunettes colorées répondant à une écharpe très « rainbow flag » est la plus en verve. « Mais pour gagner la guerre, il faut des arguments intelligents ! Or les « antis » nous resservent toutes les vieilles lunes entendues pendant les manifs contre le PACS… C’est un combat d’arrière garde qu’ils mènent ! Regardez ce cortège, la jeunesse est ici…».
La bande reconnait néanmoins que la mobilisation des opposants au mariage pour tous a été réussie. « Il faut dire que si les élus pour qui ont a voté faisaient leur boulot, on ne serait pas obligé de manifester ! Ils sont au gouvernement, ils tiennent tout : l’Assemblée, le Sénat, les Régions etc. mais laissent les opposants occuper et gagner du terrain ! On espère ne plus à avoir à descendre dans la rue pour ça en 2013. Il y a tellement d’autres combats à mener… » déplore Christine, enseignante à l’Université. Alors s’ils marchent ce dimanche, ce n’est pas juste pour contrecarrer les autres. « Ce n’est pas qu’une manif d’homos ! Nous sommes hétérosexuels mais la loi du mariage pour tous, c’est avant tout pour respecter le mot inscrit sur tous les frontons de nos mairies : Égalité ! » concluent presque en cœur ces 4 mousquetaires du « mariage gay ».
Observateur et posté sur un trottoir, le comédien, chroniqueur sur France Inter et humoriste David Azencot, prend des photos avec son portable, toujours en quête d’inspiration pour de futures vannes. Lui pense en effet que « les antis » sont en train de marquer beaucoup de points dans cette guerre des nerfs notamment grâce à leur argumentation axée sur les enfants. « Les socialistes n’ont pas fait un gros boulot de communication jusqu’à présent. Ils devaient penser que ça allait passer tout seul. Or je n’ai pas l’impression qu’il y ait autant de monde que ça aujourd’hui. Je trouve le cortège un peu clairsemé…». Hétéro sans enfant, David juge néanmoins important de participer à ce rassemblement et a été surpris par la violence notamment physique qui a émaillé la dernière grande manifestation des « antis ». « D’ailleurs dans mon spectacle Fils de pub, j’ai rajouté pas mal de blagues sur le mariage pour tous car j’ai trouvé qu’il était utile d’en reparler… ».« La majorité des gays ont bien été élevé par des hétéros… Et puis les enfants sont déjà suffisamment cons. Être élevés par des homos mariés, ça ne va pas les rendre plus cons » philosophe-t-il.
Plaisanter comme David pour dédramatiser les crispations autour de ce projet de loi ou manifester et rassembler ses forces en ordre de bataille, ce weekend-end, les pro-mariage pour tous ont fait entendre leur voix. Rendez-vous le 13 janvier pour écouter l’écho que leur renverra leurs opposants, loin encore d’avoir perdu la guerre de la communication comme celle de la mobilisation.
Sandrine Dionys
Mexique : « Peña Nieto n'est pas notre président ! »
Le 1er décembre, jour de l'investiture de Enrique Peña Nieto, la ville de Mexico a été le théâtre d'importantes manifestations. L'indignation soulevée par les circonstances plus que douteuses de l'élection du 1er juillet dernier, et par la personnalité du nouveau mandatario, est en effet grande dans un pays qui traverse une grave crise politique et sociale. La répression déployée par les autorités fédérales, mais aussi par la municipalité de la capitale, dirigée par le « socialiste » Ebrard, a été impitoyable, frappant sans discrimination passants et manifestants. 69 personnes sont toujours emprisonnées. La plupart ont été sauvagement frappées par les policiers. Deux d'entre elles sont dans un état grave, touchées à la tête par des grenades lacrymogènes lancées à tir tendu.
15 décembre 2012
Noël : Les Enfants de Falloujah…
« Celui qui tourmente un enfant mérite d’être jeté à la mer, une meule au cou. »
Jésus (1)
Georges Stanechy | A contre-courant | Vendredi 14 décembre 2012
Un conte de Noël ?...
14 décembre 2012
Union bancaire : un accord incomplet et dangereux
Les 27 membres de l’Union Européenne, représentés par leurs ministres des finances, viennent de signer un compromis sur l’Union Bancaire européenne, présenté (une fois n’est pas coutume !) comme un accord « historique ». Le point principal de l’accord est l’organisation d’une supervision directe des banques par la Banque centrale européenne.
A priori, un contrôle direct et unifié des banques dans l’espace européen est souhaitable, pour prévenir les crises systémiques, qui proviennent de la défaillance de banques individuelles se propageant à l’ensemble du système bancaire européen. Mais dans la réalité, cet accord est incomplet et dangereux.
Incomplet parce que la supervision unifiée prévue ne concernera que les 150 ou 200 grosses banques dont le bilan dépasse 30 milliards d’euros, alors qu’il y a 6 000 banques dans la zone euro. Or on sait que la crise bancaire espagnole a été provoquée par les Caisses d’épargne de petite taille. Ce nouvel accord ne résout donc en rien la crise bancaire espagnole qui menace la zone euro. Il été imposé par l’Allemagne qui souhaitait que ses banques régionales échappent au contrôle de la BCE, et que les mécanismes de solidarité entre pays soient réduits au mimimum (les contribuables allemands ne veulent pas payer pour les banques slovènes ou espagnoles).
Dangereux parce qu'il pose deux autres problèmes graves. En premier lieu, il n’impose aucune règle contraignante pour interdire la spéculation par les banques, à l’origine de cette crise. Ce qui laisse présager de nouvelles crises financières dans un proche avenir. En second lieu, les nouvelles responsabilités données à la Banque centrale européenne ne s’accompagnent d’aucune réforme de son statut. Or la crise a montré que la BCE est d’abord au service des intérêts des banquiers, et non pas au service de l’intérêt général et des États dont elle reste indépendante. Une fois de plus, les décisions prises à Bruxelles à l’écart des peuples tournent le dos à la démocratie.
Attac France, le 13 décembre 2012
13 décembre 2012
Greek crisis: Langue de bois
Notre entrée dans l’hiver ne fait plus aucun doute. La moitié du pays grelote, une nouvelle fumée recouvre nos villes, les journaux du jour (6 Jours - 13/12) s’alarment même du petit smog d’Athènes. Voilà comment les athéniens redécouvrent enfin Hestia dans son sens premier, à savoir le foyer domestique, plus prosaïquement, la cheminée ou le poêle, dressé au centre du salon. Les marchands du temple en… bois s’enrichissent évidemment, au même titre que ces trafiquants officiels qui achètent au peuple, abaissé ses derniers bijoux de famille, incontestablement, voilà les deux plus… grands métiers… émergés depuis la crise. (...)
NDDL Comité de soutien du Lot
Venez nous rejoindre, nous serons sur le marché de Figeac samedi matin 15 décembre, nous serons visibles,
nous aurons panneaux, tracts...
Nous ne pouvons accepter que les terres agricoles disparaissent au profit d'un aéroport inutile qui ne rapportera financièrement qu'au groupe Vinci.
Nous ne pouvons accepter que la loi sur l'eau soit bafouée.
Nous ne pouvons accepter que les bocages disparaissent au profit du béton.
Nous ne pouvons accepter la violence dont font preuve, sur ordre, les forces de l'ordre.
11 décembre 2012
Areva offre un avion au Président du Niger
Observatoire du nucléaire | Communiqué | mardi 11 décembre 2012