(...) Il s’agit tout de même de 43 282 m3 de déchets avec de l’uranium, du césium…
Lors de l’exploitation de la mine, fermée en 1960, une route appelée la Northern Transportation Road avait été construite de façon à acheminer le minerais jusqu’à Fort McMurray, lequel était ensuite envoyé par train jusqu’à Port Hope, en Ontario.
La LLRWMO (Low Level Radioactive Waste Management Office) avait recensé plusieurs sites radioactifs, tout autour de Fort McMurray et a entrepris, dès 1992 de déposer tous ces déchets radioactifs sur un seul site, sous une couche d’argile compactée, recouvert de terre, et planté en herbe, équipée d’une « couverture artificielle », dont on ne connait pas la nature.
C’est ainsi que jusqu’en 2003, 43 282 m3 de déchets ont été stockés.
On sait que l’incendie n’a pas épargné cette zone, mais on ne sait pas encore si la chaleur dégagée par le monstrueux incendie a pu disperser dans l’atmosphère des particules radioactives… la couche d’argile était-elle suffisamment épaisse pour évacuer tout risque … quel était le niveau de chaleur ? (...)
C’est ainsi que jusqu’en 2003, 43 282 m3 de déchets ont été stockés.
On sait que l’incendie n’a pas épargné cette zone, mais on ne sait pas encore si la chaleur dégagée par le monstrueux incendie a pu disperser dans l’atmosphère des particules radioactives… la couche d’argile était-elle suffisamment épaisse pour évacuer tout risque … quel était le niveau de chaleur ? (...)
Extrait de "Cette discrète industrie nucléaire, à Fort McMurray et ailleurs dans le monde…", article à lire sur Résistance Inventerre ...
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