Sur le terrain électoral, Chavez l’a largement emporté, résistant de pied ferme face aux coups portés à son égard et avec l’appui enthousiaste de son peuple.
La Maison Blanche a amplifié ses agressions une fois que le lent mais implacable et progressif assassinat de Chavez a été déclenché. Après sa mort, l’offensive est devenue encore plus brutale.
Sans aucune retenue, des bandes mercenaires uribistes [1] ont pénétré tout le pays pour y semer violence et mort, tout comme le font aujourd’hui les « mareros » qui sévissent chaque jour au Salvador (...)
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