La population Japonaise a été irradiée et sacrifiée à cause de la rétention d’informations par le gouvernement.
CARTORADIATIONS 10 08 2011
Le News York Time vient de publier le 8 Août 2011 [UK] à la une et sur plusieurs pages un très long article qui, preuves à l’appui, résume de façon chronologique l’état de déliquescence des politiques et des fonctionnaires face au désastre nucléaire de Fukushima.
La conclusion est simple : Dans un pays à la pointe de l’électronique, tout avait été prévu, mais au final rien ou presque n’a été divulgué et c’est Goshi Hosono, le ministre chargé de traiter la crise nucléaire, qui vient de le révéler officiellement dans une interview, sic : "certaines informations, y compris les données du système d’alerte aux dispersions radioactives (SPEEDI), avaient été retenues par crainte de créer une panique". Maintenant avec les démissions les langues se délient, les critiques à l'intérieur et l'extérieur de l'administration du Premier Ministre Naoto Kan affirment que certaines irradiations massives de la population auraient pu être évitées si les fonctionnaires avaient publié les données plus rapidement.
Tetsuo Saito, député, ancien ministre de l’Environnement, est le président de la commission nucléaire du Parlement.
Proche du Premier ministre, Naoto Kan, il critique sa gestion de la catastrophe nucléaire.
La suite dans Libération
Tetsuo Saito, député, ancien ministre de l’Environnement, est le président de la commission nucléaire du Parlement.
Proche du Premier ministre, Naoto Kan, il critique sa gestion de la catastrophe nucléaire.
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La France mieux lotie ?
Ces faits nous amènent à penser et à faire une transposition des constatations Japonaises pour la France où pareillement il existe moult organismes locaux, départementaux et nationaux de sûreté nucléaire qui s’appuient sur un maillage sophistiqué de systèmes d’alertes : Combien de Français pensent par exemple qu’en cas d’accident nucléaire à Cruas-Meysse ou au Tricastin et par mistral, tout le sillon rhodanien jusqu’à Marseille sera évacué si cela est nécessaire ? Il est presque sûr qu’à situation d’alerte nucléaire équivalente, ce qui s’est passé au Japon pour la population serait transposable à la France. (...)
Ces faits nous amènent à penser et à faire une transposition des constatations Japonaises pour la France où pareillement il existe moult organismes locaux, départementaux et nationaux de sûreté nucléaire qui s’appuient sur un maillage sophistiqué de systèmes d’alertes : Combien de Français pensent par exemple qu’en cas d’accident nucléaire à Cruas-Meysse ou au Tricastin et par mistral, tout le sillon rhodanien jusqu’à Marseille sera évacué si cela est nécessaire ? Il est presque sûr qu’à situation d’alerte nucléaire équivalente, ce qui s’est passé au Japon pour la population serait transposable à la France. (...)
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