Golfech - EDF S.A. hors la loi !
Rendez-vous le 26 janvier 2012 à 14 h devant le tribunal de police de Castelsarrasin (82) où se tiendra l’audience en première instance.
Une conférence de presse se tiendra à l'issue de l'audience..
Les centrales nucléaires rejettent de façon chronique dans l'environnement des éléments chimiques et radioactifs, ainsi que de la chaleur.
Ces rejets nocifs sont théoriquement encadrés par la loi, mais depuis le lancement du programme nucléaire EDF SA commet impunément des infractions, "bricole" la loi pour l'adapter à ses besoins industriels... et reçois l'aval des autorités de contrôle.
Le 18 janvier 2010, selon un auto-contrôle du centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) de Golfech, 450 litres "d'effluents" radioactifs provenant de la centrale ont été accidentellement déversés dans le milieu naturel. Pour les radioéléments (2) à vie courte contenus dans ce rejet, les réglementaires phénomènes de décroissance radioactive n'ont pu être respectés suite à un rejet environnemental dans la nappe phréatique sans passage par les grosses cuves prévues à cet effet.
Quelques mois avant ce déversement, les associations locales avaient démontré la présence de tritium (forme radioactive de l'hydrogène) en aval de la centrale nucléaire de Golfech.
Cette fuite pose le problème des faibles doses de radioactivité : En effet pour les associations signataires, l'exposition régulière à des doses de radioactivités dites "faibles", combinées aux rejets annuels de milliers de tonnes de résidus chimiques dans l'environnement constituent le chaînon manquant entre la présence des centrales et les excès de leucémies et de cancers infantiles constatés aux environs de ces centrales nucléaires. Ce phénomène sanitaire, statistiquement étudié en Allemagne et en Angleterre depuis des décennies vient enfin d'être confirmé par une étude produite le 5 janvier 2012 dans "International Journal of Cancer" (3).
Une conférence de presse se tiendra à l'issue de l'audience..
Les centrales nucléaires rejettent de façon chronique dans l'environnement des éléments chimiques et radioactifs, ainsi que de la chaleur.
Ces rejets nocifs sont théoriquement encadrés par la loi, mais depuis le lancement du programme nucléaire EDF SA commet impunément des infractions, "bricole" la loi pour l'adapter à ses besoins industriels... et reçois l'aval des autorités de contrôle.
Le 18 janvier 2010, selon un auto-contrôle du centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) de Golfech, 450 litres "d'effluents" radioactifs provenant de la centrale ont été accidentellement déversés dans le milieu naturel. Pour les radioéléments (2) à vie courte contenus dans ce rejet, les réglementaires phénomènes de décroissance radioactive n'ont pu être respectés suite à un rejet environnemental dans la nappe phréatique sans passage par les grosses cuves prévues à cet effet.
Quelques mois avant ce déversement, les associations locales avaient démontré la présence de tritium (forme radioactive de l'hydrogène) en aval de la centrale nucléaire de Golfech.
Cette fuite pose le problème des faibles doses de radioactivité : En effet pour les associations signataires, l'exposition régulière à des doses de radioactivités dites "faibles", combinées aux rejets annuels de milliers de tonnes de résidus chimiques dans l'environnement constituent le chaînon manquant entre la présence des centrales et les excès de leucémies et de cancers infantiles constatés aux environs de ces centrales nucléaires. Ce phénomène sanitaire, statistiquement étudié en Allemagne et en Angleterre depuis des décennies vient enfin d'être confirmé par une étude produite le 5 janvier 2012 dans "International Journal of Cancer" (3).
L’Autorité de Sûreté Nucléaire limite globalement sa pression à travers des courriers sans grand effet sur les opérateurs du nucléaire. Aujourd'hui ce sont donc des associations (1) qui se substituent à l'Autorité défaillante pour tenter de faire respecter la loi. Elles ont saisi M. le Procureur de la République afin qu'il diligente une enquête sur ces dysfonctionnements inacceptables
(1) La plainte est portée par le Réseau "Sortir du nucléaire", la SEPENLOG FNE Lot-et-Garonne, FNE Midi-Pyrénées et les Amis de la Terre Midi-Pyrénées.
Ces associations sont également soutenues par de nombreuses associations locales : Sortir du nucléaire du Gers, du Lot, du Tarn, du Tarn-et-Garonne, Serenes Sereines (Aveyron), Mouvement citoyen lotois pour la sortie du nucléaire, Vivre sans le danger nucléaire de Golfech (Lot-et-Garonne), Confédération paysanne Lot-et-Garonne (syndicat agricole), SEPANSO 47.
(2) Tableau Page 8 : http://saint.aroman.marc.free.fr/Darpe%20Golfech/Darpe%20Golfech%202005.pdf
(3) http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ijc.27425/abstract
Contacts presse :
Daniel Roussée 06 61 97 83 28
Marc Saint Aroman 05 61 35 11 06
(1) La plainte est portée par le Réseau "Sortir du nucléaire", la SEPENLOG FNE Lot-et-Garonne, FNE Midi-Pyrénées et les Amis de la Terre Midi-Pyrénées.
Ces associations sont également soutenues par de nombreuses associations locales : Sortir du nucléaire du Gers, du Lot, du Tarn, du Tarn-et-Garonne, Serenes Sereines (Aveyron), Mouvement citoyen lotois pour la sortie du nucléaire, Vivre sans le danger nucléaire de Golfech (Lot-et-Garonne), Confédération paysanne Lot-et-Garonne (syndicat agricole), SEPANSO 47.
(2) Tableau Page 8 : http://saint.aroman.marc.free.fr/Darpe%20Golfech/Darpe%20Golfech%202005.pdf
(3) http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ijc.27425/abstract
Contacts presse :
Daniel Roussée 06 61 97 83 28
Marc Saint Aroman 05 61 35 11 06
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